18 février 2007

08 février 2007

les courbes toujours

(suite)

Juste parce que cé choli:





Juste parce que c'est ridicule:


Sylvain le reporter animalier




Juste parce que c'est comme mes chaussures:



Inquiétante étrangeté (si si rien que ça)



Mon inconscient n'y échappe pas.


La pink attitude est en moi.




Parce que même si c'est vallonné, ce sont toujours les us (mais en chic, urbain arboré):







(remarquez les cables, signe distinctif de SF,
j'ai peu d'autres exemples)



Et enfin juste parce que c'est incontournable:

On prend le petit tramway coloré


On file en bateau




On passe sous le pont






Et on tourne autour d'Alcatraz


En ayant une pensée émue envers le consulat français qui m'a pondu en temps record un joli passeport provisoire tout neuf pour me rendre à NY via ciel et sortir tranquillement des Etats-Unis après avoir semé mon identité dans le jardin botanique...







06 février 2007

Les courbes de San Francisco...



Un habituel jour à -20°C, alors que mon compte risquait d'atteindre le mois entier dans les positifs, j'entrepris de bouger.

Composition de l'unité lancée dans l'aventure:
ça:

ça:


et ça:
ha et ça aussi:



Escale là après 6h de bus avec un américain coach en entreprise recyclé en chauffeur (d'où l'accueil "yeaaaaah!!! are your ready to go to New Yoooork?!!!!!!!!! yeaaaaaah !! do you want the same in french? gnagnagnagna!!!!" puis la séance de montagnes russes a commencé.) Sur la route j'ai pu goûter mon premier café américain (violet-kaki translucide) et Alexandre son tout premier hamburger en faisant remarquer qu' "on ne voit ni ne sent la différence entre le pain et le poulet..."


Après un voyage en jet privé vers San Francisco nous arrivâmes à notre hôtel:




passage au bar,


puis à la salle de bal.

et enfin à la salle de restaurant.




A propos de restauration. Cessons ces mauvaises langues et remarquons d'un oeil neuf les étalages des supermarchés américains:




Certes, ils ont la fâcheuse tendance d'en faire de curieux assemblages.
Mais, maître coach nous accompagne jusqu'au bout (ici un exemple tiré de l'aéroport de Montréal, notice en québécois. Le Québec n'est pas nord américain pour rien):


(les instructions: toujours à mon goût; Avant de prendre votre première bouchée, réfléchissez un instant sur le moment de bonheur qui s'en vient. OK. ça va faire. Allez-y.)

Et la ménagère trouvera même sa lecture sur le sujet, parmi d'autres.




Revenons à notre hôtel. Je ne peux vous priver d'une vue sur la salle de réceptions:


un coup d'oeil sur la cage d'escalier:


Sur la salle de bain:

Et sur de curieuses toilettes, selon moi un tantinet impudiques, dont voici la porte:

Passons au jardin.
Un havre de paix.









La suite plus tard, dans le même post (ou pas).