25 octobre 2006

Alexandrie, alias La Coloc

tadadaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa:


voici mes chers et tendres colocataires. -1 +2 (en toute vérité, le second personnage en partant de la gauche n'est pas de la troupe et deux colocs manquent à l'appel).

de plus près ça donne:


voilou. vous aurez l'occasion de lorgner sur les deux manquants plus loin, dans les présentations détaillées.

D'ailleurs je vais m'y atteler de suite.

Sachez simplement que ce nouveau foyer, dont je prendrai le temps de vous décrire les murs plus tard (leur passé est des plus surprenants) je l'ai déniché le deuxième jour de mon arrivée!!!!

...

Ok ok, il m'est tombé tout cru dans le bec, lorsque je prenais mon tout premier petit déjeuner (dit déjeuner en québécois, attention c'est complexe, il faut s'adapter à la langue) à ma cozy auberge de jeunesse.
Un dimanche en plus, tout ce a quoi je m'attendais un dimanche, fraîchement larguée sur une nouvelle contrée, c'était un brin de tourisme. Les recherches de logements attendraient le lundi. Mais non, un individu de noir vétu, entre deux engloutissements de bagels, m'a proposé d'une voix éteinte... le rêve: appartement gigantesque, aux allures shiningesques, sous sol aux proportions identiques, plein centre ville, 8 chambres, réservées pour le moment par deux québécois et une belge. La suite du menu complètera avec une japonnaise et trois français. (Malheureusement inévitables dans cette ville, pas moyen de s'expatrier tranquille.)

Je me suis tout de même, pour ne pas sembler sauter sur la première proposition, traînée à une autre visite avant de me décider. Mais alors que je me vendais en un long monologue à l'assemblée de 4 québécois d'un appartement sans âme, une seconde apparition de l'individu de noir vêtu précedemment évoqué, juste derrière moi, a fini de me convaincre: Ma superstition est revenue au galop: si celui qui m'a proposé l'appart-coloc qui m'a déjà tant séduite se retrouve au même moment dans le même appartement à louer parmis des centaines dans Montréal, c'est que je n'ai plus à chercher.

J'emménage le lendemain rue Amherst, plein centre de Montréal, avec 7 étudiants. Pour l'instant pas de regrets.

4 commentaires:

Dark Sysy a dit…

Première apparition du mystérieux -oui je sais je me jette des fleurs tout seul mais tu commences à avoir l'habitude- individu tout de noir vêtu dans tes contrées bloguesques...quelle superstition tiré de cela??? Suis-je aussi menaçant qu'un parapluie noir ouvert dans ta chambre -au passé pour le moins énigmatique- ou encore qu'un chat noir ou alors d'aussi bon augure qu'un trèfle à quatre feuilles ou qu'un fer à cheval?
En tout cas félicitations pour la naissance de ton blog qui en un jour d'existence dépasse déjà en termes de contenance le mien et ses presque deux mois!

Aurore a dit…

Ta présence a plutôt agit dans le sens d'un trèfle à quatre feuille ou d'un fer à cheval, t'inquiète. La preuve, le malheur ne m'a pas atteinte: les âmes errantes de ma chambre au passé douteux m'ont laissée vivre en paix. (mises à part les visions cauchemardesques qui se glissent jusqu'à mon esprit lorsque ma conscience est endormie.)
Quoi qu'il en soit, merci du compliment. Que ça te serve de motivation pour le tien.

Dark Sysy a dit…

la vérité sera faite, c'est pas moi en fait c'est amandine dite la terreur qui t'a permi de te retrouver dans cet endroit merveilleux.

Aurore a dit…

vrai