25 octobre 2006

blues de l'expatriée

instant de solitude. place aux images.


ça a un inconvéniant de partir comme ça à 6h de décalage (je me souviens plus ce que ça donne en km) de son bien-aimé.

dans la brochure de mode d'emploi de la vie adressée aux étudiants étrangers, il y avait un long paragraphe sur le coup de blues auquel tout expatrié serait confronté durant les premiers jours. c'est pas marrant, ça avait l'allure d'un documentaire animalier mélé à une fiche médicale listant des symptômes.
sachez que jai contracté l'ensemble des symptômes. c'est que je suis une âme sensible moi.

voilà c'est fait, c'est dit. maintenant je vais bien. globalement. moyennant trois shutters de vodka chaque soir minimum, deux soirées par semaine minimum, et de la compagnie en permanence et surtout surtout, pas plus de 5h de sommeil par nuit. ha si si c'étaient les prescriptions associées à la brochure crepuq.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Paris Montréal : 5530 km

Aurore a dit…

quand même...